L’acquisition de la résidence principale reste l’une des premières préoccupations des Français, puisqu’il s’agit de commencer à construire son patrimoine. UN Une fois que la propriété a été trouvée, le prêt est établi et le déménagement, les ménages ne vont pas plus loin et oublient souvent de penser à protéger le conjoint. La plupart des gens pensent que le crédit est assuré, le conjoint survivant est protégé après le décès. Ce n’est pas le cas : que vous soyez en common law, si vous êtes en pleine vitesse ou même marié, le conjoint survivant ne reçoit pas de résidence principal en cas de décès sans aucune disposition.
Pas d’enfant : Des mesures simples suffisent pour que la résidence principale puisse retourner chez le survivant.
Quelle que soit la constitution de vos actifs, les règles recommandées s’appliquent à tout le monde. Si vous avez un héritage en plus de la résidence ou pas L’essentiel est les recommandations pour un couple sans enfants vous concernent.
A lire en complément : Quels sont les avantages pour un bailleur de faire appel à un service de gestion locative ?
La mort de votre conjoint prématuré conduit à une situation non désirée : indivision. Si rien n’est prévu, le conjoint se retrouvera (vivant ensemble, pacé ou marié) pour gérer la maison avec une ou plusieurs autres personnes. Il conserve bien sûr sa part (50% de la maison), mais ne reçoit pas entièrement la partie de son partenaire. Une telle situation est toujours complexe et source de problèmes récurrents : — Qui vit dans la maison si elle appartient à plusieurs personnes ? — Qu’en est-il du paiement des frais ? — La vente n’est possible que si toutes les parties conviennent (pour la vente et sur le prix). ECT…
Les situations de conflit, qui prennent parfois plusieurs années pour être réglées. En cas de désaccord avec les indiviseurs devront attendre jusqu’à ce que le le juge décide de la Décision. L’indivision a lieu avec les personnes suivantes :
A lire également : Étude thermique : combien ça coûte ?
1) Conkubin/Pacse : En tant que non-héritier, le partenaire ne reçoit rien au moment du décès. Ce sont les personnes de la famille de votre conjoint qui ont la moitié de la Maison (parents, frères et sœurs, oncle ect…). Notre Simulator vous permet de connaître les héritiers en fonction de la situation familiale.
2) Marié : Toutefois, le conjoint survivant n’hérite qu’une partie des biens si les parents du défunt sont vivants (1/2 pour deux parents, 3/4 pour un parent). Il est nécessaire alors gérez une indivision sur la maison avec vos beaux-parents si le stock que vous recevez ne couvre pas la valeur de la résidence principale ! Pas ascendante et sans enfants, le conjoint marié hérite de tout et est bien protégé.
Pour éviter l’indivision, rien de plus facile. Il suffit de suivre les étapes ci-dessous pour vous assurer que le conjoint a le même récupérer l’ensemble de la résidence principal à la mort : — Si vous n’êtes pas marié : Faites un PACS un volonté dans lequel vous quittez la moitié de votre domicile au survivant. — Si vous êtes marié : Faites un don pour la dernière vie ou faites la volonté d’hériter de la maison.
Soyez vigilant ici si vous ne voulez pas être à la vitesse, vos solutions sont très limitées. La volonté ne suffit pas, puisque la cohabitation est de 60% à la a reçu une valeur. Si votre lieu de résidence vaut 200 000€, la part transférée en cas de décès sera de 100 000€ (le prêt sera remboursé par l’assurance décès) ou une taxe de 60 000€ ! La seule solution est associez la prévoyance à la volonté si vous êtes contre PACS. Vous payez quelques euros par mois pour les fonds perdus et l’assureur accepte de payer un montant (dans notre cas, 60 000€) de la mort.
Ces solutions ont un coût minimal. Comptez moins de 350€ au total (que ce soit Pacs, Will ou dernier don en direct). Pour les concubines veut maintenir l’Union de common law, le coût de la pension dépend de l’âge et de la valeur de la propriété.
Avec les enfants : la maison ne revient toujours pas au conjoint survivant et les solutions sont diluées.
Le problème initial reste le même en présence d’enfants, les partenaires de cohabitation ne sont pas héritiers, et le conjoint marié ne reçoit qu’une partie du Succession. Si rien n’est prévu, le survivant gardera sa moitié de la maison, mais crée encore une scission (cette fois avec les enfants). D’un autre côté, les enfants vous empêcheront d’appliquer les deux solutions avancées au point précédent. Si vous êtes réservé, vous devez fournir une portion leur patrimoine (50% si un enfant, 66% chez deux enfants, 75% chez trois enfants ou plus). Par conséquent, il est impossible de prédire le transfert de la maison au conjoint (que ce soit sur pacs volonté ou par mariage don au dernier vivant) sous peine d’entrée dans la réserve pour enfants.
Exemple : Vous êtes un couple avec un enfant et votre seule propriété est une résidence principale de 200 000€ achetée sur un crédit 50/50. Vous prenez les mesures nécessaires pour retourne au conjoint survivant après le décès. En cas de décès, la part du défunt est de 100 000€ (sa partie de la maison, le crédit est remboursé par l’assurance décès). Il est transmis au conjoint. Problème : L’enfant est une réservation et doit recevoir 50 % de la propriété ou 50 000€. Le conjoint survivant ne peut récupérer toute la maison sauf s’il ne peut pas permettre à l’enfant la réserve.
Voici deux solutions à votre disposition Si vous souhaitez que le conjoint survivant garde la maison, nous l’avons développée en détail dans cet article pour protéger le cohabitant/pacs : 1) Ils ont peu ou pas de richesse : M. et Mme signent une pension. De cette façon, un montant sera versé à l’enfant au décès afin qu’il reçoive faire une réservation. Le montant du capital versé au décès doit correspondre à la réserve pour enfants (dans notre exemple, le couple aurait dû combiner une pension de 50 000 euros pour se protéger approprié).
2) Ils ont des actifs : dans ce cas, pas de problème, l’enfant prendra une partie de la propriété au lieu de la résidence principale. Le choix de l’attribution des biens appartient au conjoint survivant, si les mesures appropriées ont été prises. Il est important que l’enfant ait la réserve. Personne ne pourra contredire le survivant qui récupérera la maison tant que la réservation est autrement réservée est respectée. En présence de liquidités, il peut être utile de considérer l’assurance-vie pour son impôt sur les transferts.